- Conrad Gauthier
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Testo Autrefois
Testo Autrefois
Autrefois (avec Béatrice Lapierre-Latour)
Lui - Lorsqu'autrefois nous jouions dans la plaine
Alors que nous étions petits enfants
Toi tout en bleu dans ta robe d'indienne
Moi tout en gris en étoffe d'habitant
Courant pieds nus, nous amusant sans cesse, Les jours passaient avec rapidité
Nous étions jeunes, pourtant je le confesse
Déjà pour toi j'avais de l'amitié.
Elle - Un peu plus tard quand je devins grandette
Et que tous deux nous dûmes travailler
Au r'tour des foins, dans ta grande charette
Que de chansons n'avons-nous pas chantées!
Ton cheval rouge qui semblait nous comprendre
Allait lent'ment et sans qu'il soit mené
Je me souviens qu'tu n'manquais jamais d'prendre
À la cachette un bien tendre baiser.
Lui - Après l'souper, en habit du dimanche,
Chez vous j'venais tous les jours de l'année
Je me rappelle votr' jolie maison blanche Et de ton père l'accueil hospitalier
Les gens du Rang, c'était une coutume,
Venaient souvent faire un p'tit bout d'veillée
Les hommes prenaient quelque chose pour leur rhume
Aux créatures disant: À votr' santé!
Elle - C'était alors le gai moment des danses
Des rigodons, des sets, des gigues carrées
Des violoneux, des chanteurs de romances
Ah! dans c'temps-là on savait s'amuser
À mon père un jour tu fis la grand' demande
Deux mois plus tard nous étions mariés
Elle et lui - Depuis ce jour, félicité plus grande
Dans aucun coeur n'a jamais existé!
Lui - Lorsqu'autrefois nous jouions dans la plaine
Alors que nous étions petits enfants
Toi tout en bleu dans ta robe d'indienne
Moi tout en gris en étoffe d'habitant
Courant pieds nus, nous amusant sans cesse, Les jours passaient avec rapidité
Nous étions jeunes, pourtant je le confesse
Déjà pour toi j'avais de l'amitié.
Elle - Un peu plus tard quand je devins grandette
Et que tous deux nous dûmes travailler
Au r'tour des foins, dans ta grande charette
Que de chansons n'avons-nous pas chantées!
Ton cheval rouge qui semblait nous comprendre
Allait lent'ment et sans qu'il soit mené
Je me souviens qu'tu n'manquais jamais d'prendre
À la cachette un bien tendre baiser.
Lui - Après l'souper, en habit du dimanche,
Chez vous j'venais tous les jours de l'année
Je me rappelle votr' jolie maison blanche Et de ton père l'accueil hospitalier
Les gens du Rang, c'était une coutume,
Venaient souvent faire un p'tit bout d'veillée
Les hommes prenaient quelque chose pour leur rhume
Aux créatures disant: À votr' santé!
Elle - C'était alors le gai moment des danses
Des rigodons, des sets, des gigues carrées
Des violoneux, des chanteurs de romances
Ah! dans c'temps-là on savait s'amuser
À mon père un jour tu fis la grand' demande
Deux mois plus tard nous étions mariés
Elle et lui - Depuis ce jour, félicité plus grande
Dans aucun coeur n'a jamais existé!
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