- Cyril Mokaiesh
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- Près De Vous
Testo Près De Vous
Testo Près De Vous
À l’été dénudé, à l’hiver casanier
À l’automne des tourments, au sacre du printemps
Je lève sans rancunes, mon verre à l’infortune
D’une vie entre chien et loup, près de vous
À nos liens par le sang, aux lèvres de passage
À ces bateaux qu’on prend, droit vers le large
À nos amis fidèles, à ceux qui se font la belle Aux voyages joues contres joues, près de vous
J’avoue, les pleurs, et les coups
J’avoue, j’avoue le bonheur de peur qu’il s’échoue
À Paris, à Beyrouth, aux touristes du mois d’aout
À Saint-Germain des prés, un peu suranné
À la jeunesse de France, je trinque à l’insolence
Du Flamenco andalou, près de vous
À Mounir, à la miss, à nos enfances qui glissent
Comme on part en vacances, quand j’y repense
À ce teint des figuiers, moi mon arbre fruitier
N’a pas grandi de beaucoup, loin de vous
J’avoue, les pleurs, et les coups
J’avoue, j’avoue le bonheur de peur qu’il s’échoue
À l’été dénudé, à l’hiver casanier
À l’automne des tourments, au sacre du printemps
Je lève plein comme la lune, mon verre à la fortune
D’être simplement dessous, près de vous
À nos liens par le sang, aux lèvres de passage
À ces bateaux qu’on prend, droit vers le large
À tout l’azur perdu, à celui qu’on loupera plus
À demain qui tient debout, près de vous
À l’automne des tourments, au sacre du printemps
Je lève sans rancunes, mon verre à l’infortune
D’une vie entre chien et loup, près de vous
À nos liens par le sang, aux lèvres de passage
À ces bateaux qu’on prend, droit vers le large
À nos amis fidèles, à ceux qui se font la belle Aux voyages joues contres joues, près de vous
J’avoue, les pleurs, et les coups
J’avoue, j’avoue le bonheur de peur qu’il s’échoue
À Paris, à Beyrouth, aux touristes du mois d’aout
À Saint-Germain des prés, un peu suranné
À la jeunesse de France, je trinque à l’insolence
Du Flamenco andalou, près de vous
À Mounir, à la miss, à nos enfances qui glissent
Comme on part en vacances, quand j’y repense
À ce teint des figuiers, moi mon arbre fruitier
N’a pas grandi de beaucoup, loin de vous
J’avoue, les pleurs, et les coups
J’avoue, j’avoue le bonheur de peur qu’il s’échoue
À l’été dénudé, à l’hiver casanier
À l’automne des tourments, au sacre du printemps
Je lève plein comme la lune, mon verre à la fortune
D’être simplement dessous, près de vous
À nos liens par le sang, aux lèvres de passage
À ces bateaux qu’on prend, droit vers le large
À tout l’azur perdu, à celui qu’on loupera plus
À demain qui tient debout, près de vous
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