Testo Noces
Testo Noces
Le monde est une cage mais on s’aimait dedans
Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
En c’moment, il pleut beaucoup, l’soleil s’lève plus trop ici
Comme coincé dans la roue, la même journée en repeat
Parfois, j’pense à toi mais parfois j’oublie
Et alors j’m’en veux parce que c’est l’seul moyen d’te faire vivre
Comme la fin d’un cycle au début d’un siècle
Certains brisent des vitres, c’est un peu la même
Bons qu’à pousser des cris pendant qu’le temps nous tue
On est peu d’choses hein, comme ces phrases toutes faites qui nous bouchent la vue
On rêvait d’une petite maison pas très loin des nuages
Mais là, c’est la nouvelle saison et j’suis pas très loin du naufrage
T’apparais dans mes rêves, aussi dans mes cauchemars
J’erre entre ciel et terre, un ange avec des cocards
Le monde est une cage mais on s’aimait dedans Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
Place de la République, des clodos et des mecs tristes
J’suis dans l’deuxième camp, à atteindre la fin d’l’éclipse
Une bagarre sur le parvis
Les roses sont rouges, les violettes bleues, la vie est belle comme un parking
La tête pleine de souv’nirs d’cette vie pleine de désordre
On galérait pendant des heures comme si le ciel jetait des sorts
Fallait réapprendre à s’aimer, s’réconcilier avec son corps
Contrairement à moi, t’avais moins peur des fantômes que des hommes
Y’a ces nuits où j’saute dans l’vide
Ces journées où je n’fais rien comme par peur que ça empire
Mais j’veux m'dire qu’c’était beau
J’veux m’dire qu’c’était beau
Le monde est une cage mais on s’aimait dedans
Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
En c’moment, il pleut beaucoup, l’soleil s’lève plus trop ici
Comme coincé dans la roue, la même journée en repeat
Parfois, j’pense à toi mais parfois j’oublie
Et alors j’m’en veux parce que c’est l’seul moyen d’te faire vivre
Comme la fin d’un cycle au début d’un siècle
Certains brisent des vitres, c’est un peu la même
Bons qu’à pousser des cris pendant qu’le temps nous tue
On est peu d’choses hein, comme ces phrases toutes faites qui nous bouchent la vue
On rêvait d’une petite maison pas très loin des nuages
Mais là, c’est la nouvelle saison et j’suis pas très loin du naufrage
T’apparais dans mes rêves, aussi dans mes cauchemars
J’erre entre ciel et terre, un ange avec des cocards
Le monde est une cage mais on s’aimait dedans Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
Place de la République, des clodos et des mecs tristes
J’suis dans l’deuxième camp, à atteindre la fin d’l’éclipse
Une bagarre sur le parvis
Les roses sont rouges, les violettes bleues, la vie est belle comme un parking
La tête pleine de souv’nirs d’cette vie pleine de désordre
On galérait pendant des heures comme si le ciel jetait des sorts
Fallait réapprendre à s’aimer, s’réconcilier avec son corps
Contrairement à moi, t’avais moins peur des fantômes que des hommes
Y’a ces nuits où j’saute dans l’vide
Ces journées où je n’fais rien comme par peur que ça empire
Mais j’veux m'dire qu’c’était beau
J’veux m’dire qu’c’était beau
Le monde est une cage mais on s’aimait dedans
Comme des oiseaux libres, nés pour mourir au printemps
Pendant qu’les grands d’ce monde se prenaient pour Dieu
Devant les gens heureux, nous, on se prenait pour eux
Et sur ma poitrine, tu enfonçais tes ongles
J’ai encore les traces et j’entends encore le son
Celui de ta voix quand tu disais qu’tu m’aimais
Après quelques secondes, tu ajoutais "à jamais"
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