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Testo Le Précipice
Testo Le Précipice
Elle et lui en face à face
Dans la nuit sur la terrasse
Elle glisse
La main sous son pull
À tâtons
De ses doigts minuscules
Lui écrit des mots d'amour D'un langage de velours
Il frémit
Contracte ses épaules
Et s'approche
Faisant craquer la tôle
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Relevant
Sa manche doucement
Elle vit sur sa peau
Un c?ur rouge
Aussitôt en rigolant
Elle parcourut le géant
Elle découvre
Un serpent qui susurre
Dans son dos
D'étranges murmures
Sur sa poitrine un croquis
D'un croque-mort qui sourit
Elle pointa
Son petit doigt
Là où l'homme ne s'y attendait pas
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Soulevant
La fille doucement
Il vit dans ses yeux
Un c?ur rouge
Les esquisses dans le grain
De la peau du vieux marin
Dansaient
Sur la piste nue
Du corps de leur maître déchu
Et le bonhomme s'écroula
Sur la tôle dans un fracas
Le regard
Perdu dans les airs
La petite lui dit toute fière
Je suis le diable en personne
Et ta gueule de vieux bonhomme
Me touche
Je t'ai dans la peau
Je n'te quitterai pas de sitôt
Et ton c?ur est bien trop blanc
Je m'en vais percer dedans
Y boire
Toute la tendresse
Voir un peu là d'dans ce qu'il en reste
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Relevant
Sa manche doucement
Il vit sur sa peau
Sa grande bouche
Il se pencha tout contre elle
Elle lécha sa nuque au goût de sel
Creusant
Le précipice
Le serpent la transporta
Tranquillement sur l'avant-bras
Sifflant
Cette musique
La petite était gravée
Dans le c?ur du chaviré
Avec
Ses complices
Et le croque-mort lui chanta
L'air que vous entendez là
D'une voix ironique
D'une voix ironique
D'une voix ironique
Dans la nuit sur la terrasse
Elle glisse
La main sous son pull
À tâtons
De ses doigts minuscules
Lui écrit des mots d'amour D'un langage de velours
Il frémit
Contracte ses épaules
Et s'approche
Faisant craquer la tôle
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Relevant
Sa manche doucement
Elle vit sur sa peau
Un c?ur rouge
Aussitôt en rigolant
Elle parcourut le géant
Elle découvre
Un serpent qui susurre
Dans son dos
D'étranges murmures
Sur sa poitrine un croquis
D'un croque-mort qui sourit
Elle pointa
Son petit doigt
Là où l'homme ne s'y attendait pas
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Soulevant
La fille doucement
Il vit dans ses yeux
Un c?ur rouge
Les esquisses dans le grain
De la peau du vieux marin
Dansaient
Sur la piste nue
Du corps de leur maître déchu
Et le bonhomme s'écroula
Sur la tôle dans un fracas
Le regard
Perdu dans les airs
La petite lui dit toute fière
Je suis le diable en personne
Et ta gueule de vieux bonhomme
Me touche
Je t'ai dans la peau
Je n'te quitterai pas de sitôt
Et ton c?ur est bien trop blanc
Je m'en vais percer dedans
Y boire
Toute la tendresse
Voir un peu là d'dans ce qu'il en reste
Attention
Tu vas toucher mon c?ur
Ma petite
Va te promener ailleurs
Relevant
Sa manche doucement
Il vit sur sa peau
Sa grande bouche
Il se pencha tout contre elle
Elle lécha sa nuque au goût de sel
Creusant
Le précipice
Le serpent la transporta
Tranquillement sur l'avant-bras
Sifflant
Cette musique
La petite était gravée
Dans le c?ur du chaviré
Avec
Ses complices
Et le croque-mort lui chanta
L'air que vous entendez là
D'une voix ironique
D'une voix ironique
D'une voix ironique
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