- Kery James
- >
- 92.2012
- >
- Pleure En Silence
Testo Pleure En Silence
Testo Pleure En Silence
Persuadé d'avoir du vécu,
Chacun de nous pense posséder le monopole de la souffrance.
On aborde fièrement nos cicatrices
Et on aime rappeler à quel point nos vies sont tristes et cruelles.
On est le nombril du monde et tous prétendent avoir grandi à l'ombre du bonheur.
On s'fait notre ciné,
Dans le vacarme de nos plaintes ya tant de gens qu'on entend même plus pleurer.
Tu sais, on ne souffre pas qu'en banlieue, Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux.
Même dans les beaux quartiers, les sourires sont nos masques,
On achète pas le bonheur sans qu'un jour on nous tende un masque.
La détresse n'a pas de couleurs,
Réveille-toi! Sous combien de peaux blanches se cache la douleur?
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre, Mais comme derrière les barreaux
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Mal-être,
Chronique,
Les douleurs qu'on traîne,
On espère qu'elles disparaissent, Mais en fait elles hibernes.
Dans l'hiver de nos plaies,
Nos coeurs la renferme.
S?? et sursis à viser du ferme.
Et on se cache pour pleurer,
Si on souris au monde,
C'est en espèrent le leurré.
Parce qu'au fond,
Qui veut réellement savoir ce qui nous tues et ce que l'on est?
Les gens se contentent de ce qu'on paraît pas vrai?
Souffrir sans pouvoir le dire, c'est pire,
Moi j'ai encore la chance de l'écrire.
Alors je chante pour celles et ceux,
Qui meurent de leurs vivants dans des trames silencieuses.
Polémie de douleurs,
Anorexie de bonheur,
Tous chantonne leurs vies ???,
Même mineurs!
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Ne crois jamais être le seul,
A pleurer de quoi inonder le sol.
Certains enveloppent leurs tristesse dans un l'insole,
Mais seuls,
Ils finissent pleureurs comme le saule.
N'écoute pas trop les coeurs,
Il font "boum boum boum boum"
Au rythme des peurs,
"boum boum boum boum"
Chacun porte son fardeau,
Les coeurs gels et prennent les faux semblants comme manteaux,
Quand d'autres seront pliés dans la violence,
Se cachent derrière l'arrogance,
Traduisent leurs tristesse par l'insolence.
Les gens cachent leurs douleur
Tiennent debout comme des arbres,
Mais leurs branche sont d'argile,
Du cristal sous du marbre.
Les blessures mortelles sont celles qu'on ne peut confier,
Si on se sent asfixié c'est qu'on tante de les étouffer.
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
(On pleure en silence, Paris on pleure en silence, New-york on pleure en silence...)
Chacun de nous pense posséder le monopole de la souffrance.
On aborde fièrement nos cicatrices
Et on aime rappeler à quel point nos vies sont tristes et cruelles.
On est le nombril du monde et tous prétendent avoir grandi à l'ombre du bonheur.
On s'fait notre ciné,
Dans le vacarme de nos plaintes ya tant de gens qu'on entend même plus pleurer.
Tu sais, on ne souffre pas qu'en banlieue, Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux.
Même dans les beaux quartiers, les sourires sont nos masques,
On achète pas le bonheur sans qu'un jour on nous tende un masque.
La détresse n'a pas de couleurs,
Réveille-toi! Sous combien de peaux blanches se cache la douleur?
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre, Mais comme derrière les barreaux
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Mal-être,
Chronique,
Les douleurs qu'on traîne,
On espère qu'elles disparaissent, Mais en fait elles hibernes.
Dans l'hiver de nos plaies,
Nos coeurs la renferme.
S?? et sursis à viser du ferme.
Et on se cache pour pleurer,
Si on souris au monde,
C'est en espèrent le leurré.
Parce qu'au fond,
Qui veut réellement savoir ce qui nous tues et ce que l'on est?
Les gens se contentent de ce qu'on paraît pas vrai?
Souffrir sans pouvoir le dire, c'est pire,
Moi j'ai encore la chance de l'écrire.
Alors je chante pour celles et ceux,
Qui meurent de leurs vivants dans des trames silencieuses.
Polémie de douleurs,
Anorexie de bonheur,
Tous chantonne leurs vies ???,
Même mineurs!
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
Ne crois jamais être le seul,
A pleurer de quoi inonder le sol.
Certains enveloppent leurs tristesse dans un l'insole,
Mais seuls,
Ils finissent pleureurs comme le saule.
N'écoute pas trop les coeurs,
Il font "boum boum boum boum"
Au rythme des peurs,
"boum boum boum boum"
Chacun porte son fardeau,
Les coeurs gels et prennent les faux semblants comme manteaux,
Quand d'autres seront pliés dans la violence,
Se cachent derrière l'arrogance,
Traduisent leurs tristesse par l'insolence.
Les gens cachent leurs douleur
Tiennent debout comme des arbres,
Mais leurs branche sont d'argile,
Du cristal sous du marbre.
Les blessures mortelles sont celles qu'on ne peut confier,
Si on se sent asfixié c'est qu'on tante de les étouffer.
[REFRAIN]
Chacun ses secrets, murmurés dans le silence,
Ces hémorragies internes, qui nous font pleurer en silence
Tu peux souffrir sans venir de la banlieue,
Partout tu peux lire le même manques d'amour dans les yeux!
A chacun son ghetto,
Chacun porte son fardeau.
Tu veux grandir à l'air libre,
Mais comme derrière les barreaux
(On pleure en silence, Paris on pleure en silence, New-york on pleure en silence...)
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