Testo Requiem Pour N'importe Qui
Testo Requiem Pour N'importe Qui
Il est mort connue du bois sec.
Ça pouvait être n'importe qui,
Un enfant de l'Andalousie
Ou un frère du soldat Schveik.
Il est mort, la guerre est finie.
On lui fait des funérailles,
Chacun retourne à son travail.
Il est mort et je suis en vie.
Il est mort comme un feu de paille,
ça s'est passé très loin d'ici.
C'est loin l'Afrique et loin l'Asie,
Des mercenaires et ses G.I.
Il est mort de n'avoir su vivre
Quand il fallait vivre à genoux,
Noyé de sang, noyé de boue.
La mort enfin l'a rendu libre.
Il est mort comme du bois sec.
Ça pouvait être n'importe qui,
Le frère de Théodoraki,
Un enfant de Zorba le Grec.
Il est mort, je suis en exil Et je meurs un peu avec lui,
Chaque fois que tombe la nuit
Sur le soleil du mois d'avril.
Il est mort comme du bois sec.
Ça pouvait être n'importe qui,
Le frère de Théodoraki,
Un enfant de Zorba le Grec.
Il est mort, je suis en exil
Et je meurs un peu avec lui,
Chaque fois que tombe la nuit
Sur le soleil du mois d'avril.
Il est mort, pitié pour ses cendres.
Ce n'est ni l'heure ni l'endroit
Pour demander des comptes à rendre,
Mais les mots viennent malgré moi.
Ça pouvait être n'importe qui,
Un enfant de l'Andalousie
Ou un frère du soldat Schveik.
Il est mort, la guerre est finie.
On lui fait des funérailles,
Chacun retourne à son travail.
Il est mort et je suis en vie.
Il est mort comme un feu de paille,
ça s'est passé très loin d'ici.
C'est loin l'Afrique et loin l'Asie,
Des mercenaires et ses G.I.
Il est mort de n'avoir su vivre
Quand il fallait vivre à genoux,
Noyé de sang, noyé de boue.
La mort enfin l'a rendu libre.
Il est mort comme du bois sec.
Ça pouvait être n'importe qui,
Le frère de Théodoraki,
Un enfant de Zorba le Grec.
Il est mort, je suis en exil Et je meurs un peu avec lui,
Chaque fois que tombe la nuit
Sur le soleil du mois d'avril.
Il est mort comme du bois sec.
Ça pouvait être n'importe qui,
Le frère de Théodoraki,
Un enfant de Zorba le Grec.
Il est mort, je suis en exil
Et je meurs un peu avec lui,
Chaque fois que tombe la nuit
Sur le soleil du mois d'avril.
Il est mort, pitié pour ses cendres.
Ce n'est ni l'heure ni l'endroit
Pour demander des comptes à rendre,
Mais les mots viennent malgré moi.
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