- Jean-François Battez
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Testo Dans La Fumée
Testo Dans La Fumée
Dis-moi que vois tu marin dans la fumée de ton tabac
Tu sembles regarder au loin debout en face de moi
Mais que vois-tu derrière ce bar, entre ces bouteilles alignées
Mais quel reflet dans le miroir que je n'ai jamais deviné
Mais d'abord qui es-tu marin toi qui ne m'a jamais parlé
Que pour me commander du vin sans un seul geste d'amitié
Mais que vois tu dans la fumée dans ce nuage où tu te noies Mais quel mirage vient te parler te chuchoter je ne sais quoi
Tiens tu me fais penser à cette fille à cette chanteuse de cabaret
La même ombre dans tes yeux qui brillent celle qu'elle avait quand elle chantait.
C'est sûr je l'ai trop aimée ou plutôt je l'ai mal aimée
Elle qui s'était tournée vers moi, moi qui ne la méritais pas
Et comprendrais-tu bistrotier toi qui ne l'as jamais vue sourire
Toi qui ne la pas entendue rire et qui ignore comme elle chantait
Elle jaillissait dans la fumée de tous les bars où elle passait
Ange déchu d'un paradis venu racheter les maudits.
Tu sais si tu l'avais connu tu ne l'aurais jamais oubliée
Elle aurait mis ton âme à nu et doucement l'aurait bercée
Par un miracle à sa façon par la magie de ses chansons
Je crois qu'aucun homme ici bas ne pourrait oublier sa voix
Tu sembles regarder au loin debout en face de moi
Mais que vois-tu derrière ce bar, entre ces bouteilles alignées
Mais quel reflet dans le miroir que je n'ai jamais deviné
Mais d'abord qui es-tu marin toi qui ne m'a jamais parlé
Que pour me commander du vin sans un seul geste d'amitié
Mais que vois tu dans la fumée dans ce nuage où tu te noies Mais quel mirage vient te parler te chuchoter je ne sais quoi
Tiens tu me fais penser à cette fille à cette chanteuse de cabaret
La même ombre dans tes yeux qui brillent celle qu'elle avait quand elle chantait.
C'est sûr je l'ai trop aimée ou plutôt je l'ai mal aimée
Elle qui s'était tournée vers moi, moi qui ne la méritais pas
Et comprendrais-tu bistrotier toi qui ne l'as jamais vue sourire
Toi qui ne la pas entendue rire et qui ignore comme elle chantait
Elle jaillissait dans la fumée de tous les bars où elle passait
Ange déchu d'un paradis venu racheter les maudits.
Tu sais si tu l'avais connu tu ne l'aurais jamais oubliée
Elle aurait mis ton âme à nu et doucement l'aurait bercée
Par un miracle à sa façon par la magie de ses chansons
Je crois qu'aucun homme ici bas ne pourrait oublier sa voix
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